vendredi 19 septembre 2014

Connecté de la tête au pied !

A chaque rentrée scolaire, les parents sont ravis de laisser d’avantage d’autonomie à leurs enfants. Gagner la « sérénité des parents, un jeux d’enfant » avec le manteau connecté de Gémo, enseigne de prêt-à-porter, filiale d'Eram.


Rentrer seul de l’école, partir faire du sport ou disparaître dans les allées du supermarché, les parents auront l’esprit plus tranquille avec leur enfant vêtu de cette doudoune équipée d’une balise GPS, facilement localisable via le site internet ou avec une appli mobile.
De nombreux trackers sont déjà disponibles, comme le KizON, KidFit ou des montres comme HereO ou Filip, mais c’est la première fois qu’un manteau avec une balise intégrée est vendu en grande surface.

Vendue du 17 septembre au 19 octobre au prix de 99€ dans les boutiques Gémo, nos bambins de 3 à 10 ans auront droit à une doudoune stylée et équipée de sa balise, un étui de protection et 6 mois d’abonnement au service de transmission des données.
ISCOMIGOO - Doudoune connectée de GEMO

Une fois accros à cet objet connecté grâce aux fonctionnalités, telle la « Boussole » qui indique la distance entre vous et la balise ou le « Périmètre » qui détermine à l'enfant l’espace à ne pas dépasser, l’abonnement proposée par la start-up Ma P'tite Balise, est de 4,90€ par mois.
ISCOMIGOO - Ma P'tite Balise - GEMO


Les nouvelles technologies n’ont pas fini de nous rendre de petits services, encore faut-il en faire bon usage ! Et rien ne remplacera l'attention d'un parent envers son enfant. L’autonomie est une question de confiance en soi et responsabiliser nos enfants est essentiel pour leur développement.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Pratique ou intrusif ?



Sources : connected-objects.fr, BFMTV, leParisien.fr

mardi 29 avril 2014

ISCOMIGOO : Pop-up digital Kate Spade à NYC

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ISCOMIGOO présente le pop-up store Kate Spade


Un concept, un business : nouveau mode d'achat

Prenez un créateur de vêtements de talent, Kate Spade, un concept fiable, les magasins de pop-up, un partenaire solide, eBay, et un peu de créativité et de la technologie. Mélangez-les ensemble et vous obtenez l'une des meilleures idées de 2014.
La scène se déroule à New York. La marque de vêtements Kate Spade a décidé d'installer 4 pop-up stores qui changent de l'ordinaire.

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ISCOMIGOO : pop-up store connecté

Les vêtements de la marque sont présentés dans une vitrine interactive grandeur nature qui permet aux passants de commander directement les vêtements, juste en laissant leur numéro de téléphone et le lieu de livraison. Sans personnel sur place, la boutique électronique est accessible à tout moment.

Les vêtements sont ensuite livrés gratuitement en 1 heure. Le paiement se fait à la réception de la commande, directement au livreur, en partenariat avec eBay.

Les écrans permettent aux clients de commander les vêtements qui sont physiquement présentés en vitrine, mais aussi de voir toute la collection, d’avoir des informations spécifiques sur chacun des produits et de voir les vêtements portés par un modèle.

ISCOMIGOO pousse d’avantage le concept en suggérant d’ajouter quelques services et fonctionnalités

• Tout d'abord, il serait intéressant d’intégrer les réseaux sociaux dans l'expérience. Des liens de partage Facebook et Twitter permettraient à ceux qui ne sont pas spécialement intéressés par les vêtements, de recommander cet endroit à une connaissance.
• Un mode de paiement sans contact, utilisant la technologie NFC, permettrait aux clients de payer directement à la commande.

Ce pop-up store connecté est temporaire. Il permet de créer le buz autour de la marque, d’apporter une solution ludique en attendant l’ouverture prochaine du magasin… avec nos chers vendeurs derrière les caisses !

Retrouvez l'e-shop sur katespade.com

vendredi 4 avril 2014

ISCOMIGOO : Carrefour, des cabines d’essayage virtuelles

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ISCOMIGOO : "Mon look virtuel by Tex" 

Dernière NEWS ISCOMIGOO : la grande distribution se digitalise grâce au prêt-à-porter !


L’agence Havas Media et Clear Channel associent technologie, évènementiel et créativité.

Inattendu pour une enseigne de grande distribution, 6 cabines d’essayage virtuelles sont en test, en ce moment, chez Carrefour.

L’opération « Mon look virtuel by Tex » combinent réalité augmentée et reconnaissance de mouvements. Placées dans les allées de centres commerciaux en France, il suffit de se placer devant l’écran pour visualiser la collection de vêtements Tex. Les clientes sont scannées puis filmées avant d’apparaître sur l’écran vêtues du vêtement choisi et se voir sous tous les angles.

La marque souhaite faire découvrir sa collection aux clients des centres commerciaux, offrir une expérience utilisateur ludique et bannir la corvée de l’essayage.

Afin de prolonger l’expérience sur les réseaux sociaux et récolter de la data qualifiée :

- un jeu concours est organisé pour tenter de gagner un bon d’achat de 100€,

- le #monlookvirtuelTEX permet de relayer sur Twitter les photos prises de la cabine virtuelle.

Carrefour en chiffres grâce à ISCOMIGOO :

• Founded in 1958.
• 2nd mondial de la grande distribution
• 9 994 magasins sous enseignes dans 33pays
• 4 635 magasins en France
191 236 Facebook fans.
• 13,5 millions de clients actifs porteurs de la carte de fidélité en France


lundi 17 mars 2014

ISCOMIGOO : News Looks tire son épingle du jeu !

Le secteur du prêt-à porter se modernise en digitalisant ses points de vente.
De nombreuses enseignes installent dans leur magasin des supports numériques afin de faire la différence face à une concurrence toujours plus féroce.

Cela apporte un parcours client inédit, une expérience d’achat de qualité et, bien sûr, une base de données enrichie idéale pour un secteur éminemment ROIste.

Iscomigoo vous détaillent comment les magasins New Look digitalisent et animent leurs points de vente.


3 applications spécifiques : 1 aide à la vente

L’agence Kiwapp, spécialiste de la digitalisation des points de vente sur tablettes et smartphones, a conçu 3 applications spécifiques :


La New Look Student Card 

Une application spécialement créée pour les étudiantes. Le cœur de cible, les étudiants, ont la possibilité de s’inscrire en quelques clics à un programme de fidélité spécifique grâce à un formulaire d’adhésion accessible en boutique sur iPad. Plusieurs bénéfices, la réduction d’erreur de saisies et moins de travail pour le staff qui peut se concentrer sur le règlement en caisse et le conseil. newlookblog.com/tag/carte-etudiant/

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ISCOMIGOO - Carte de Fidélité NEW LOOK

L'application Jeu-concours

Conçue pour toutes les clients, elle permet de développer la base de données clients et d’obtenir des optins qualifiées (nom, prénom, email, date de naissance).


Le catalogue interactif

New Look présente sa collection "Jeans" à l'aide d'une 3ème application sur tablette numérique in store. Il est ainsi possible de comparer les différentes coupes, tissus, coloris et prix, de créer son look ou découvrir le dernier modèle grâce à des vidéos.Cela créé l’envie, booste les ventes et associe l’univers du jean à l’image de New Look.
Grâce à ce contenu mis à disposition, l’acte d’achat in store n’est se réduit plus qu’à un simple règlement en caisse, l'expérience en vidéo :

News Looks en chiffres grâce à ISCOMIGOO

  • Créée en 1969.
  • 2ème marque de prêt-à-porter en Grande-Bretagne.
  • Plus de 800 magasins dans plus de 20 pays.
  • 1er magasin New Look en France : en 2006.
  • 2,9 millions de fans Facebook.
  • 28 magasins en France.
  • 140 000 cartes de fidélité.
  • 350 000 contacts dans la base de données dont 80% d’étudiantes.
  • 14 000 contacts en plus chaque mois depuis Août 2013.

lundi 3 mars 2014

ISCOMIGOO : Restaurant étoilé, un lieu à digitaliser.

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ISCOMIGOO-digitalisation_illustration_CreditAFP

S’il y a bien un lieu de consommation qui ne soit pas connecté, c’est bien le restaurant.
Pourtant, les clients sont demandeurs prenant en photo le moindre plat, chef étoilé ou non.
Et, c’est à contrario de la digitalisation des points de vente que les restaurateurs haut-de-gamme ont fait par de leur raz le bol.
Pourtant, ils pourraient tirer parti de l’engouement qu’ils provoquent tout en respectant leur art culinaire, voici le détail grâce à ISCOMIGOO

Certains chefs ont tout simplement interdit de prendre des photos de leurs plats. Il est vrai que l'attitude de certains clients est à déplorer, debout sur leur chaise pour prendre la meilleure photo possible, utilisant le flash, voire des trépieds en plein restaurant, puis en twittant, likant, tchatant et le plat fini par être froid ! Moins radical, le cuisinier étoilé « Alexandre Gauthier, chef du restaurant la Grenouillère à La Madelaine-sous-Montreuil, a représenté un appareil photo barré sur sa carte. "Les photos ne sont pas interdites, mais je veux créer l'interrogation", a-t-il expliqué à l'AFP ».

Les photos postées sur les réseaux sociaux peuvent gâcher la découverte de certains plats comme « l ‘oeuf de poule "pourri" de truffes du chef trois étoiles Gilles Goujon à L'Auberge du vieux puits à Fontjoncouse. "Si les gens prennent en photo l’œuf coupé et l'envoient sur les réseaux sociaux, ça enlève la surprise".

La propriété intellectuelle est également défendue car par l’intermédiaire de ces photos, les plats peuvent être copié. Aucun client ne demande l’autorisation de faire des photos et se comporte loyalement avec les restaurateurs. Cependant, une photo prise avec un smartphone est rarement de qualité. Cela est un problème supplémentaire car cela ne donne pas une bonne image au restaurant.
De plus, les critiques vont bon train. Et pas que positives. Certains clients en arrivent même à critiquer la cuisson de viande non découpée !

Mais revenons à la digitalisation des restaurants.


Certains Chef ont proposé des solutions bien conscients de la publicité gratuite qu’apportent les réseaux sociaux : visibilité mondiale, e-reputation, augmentation du chiffre d’affaire.

Comme le Chef Bouley qui emmène simplement ses clients en cuisine pour photographier les plats à servir. "Cela est tellement plus appétissant sur du marbre en cuisine. Cela devient un privilège pour eux et non une interdiction".

En effet, la VRAIE photographie culinaire est un art qui utilisent aussi des subterfuges pour que la version immortalisée du plat soit plus flatteuse que sa version cuisinée.
Il est possible de répondre positivement à la demande de photos tout en s’assurant une qualité à la hauteur des plats et entretenir la ferveur des fans et des curieux.

ISCOMIGOO imagine pour vous le restaurant connecté…

Sur son site internet, le restaurant propose aux internautes de télécharger les photos des plats. Simple goodies, fond d’écran ou réel vecteur de visibilité grâce au partage sur les réseaux sociaux. Une fois une table réservée en ligne (web to store), le client choisit son menu en likant les photos.

Au restaurant, le menu traditionnel est équipé d’un QRCode permettant de télécharger l’ensemble des plats photographiés par un professionnel. Pour ceux qui le souhaitent, des tablettes numériques remplace les menus habituels, Composé de photos que le client partage d’un clic sur Face Book, Foursquare ou Instagram. Si un plat n’est plus au menu, la raison est expliquée simplement (saison, rareté du produits…)
Pour l’aspect qualitatif, un serveur prend la commande mais a connaissance des likes du client constituant son menu lors de la réservation. Cela lui permet de suggérer au mieux les accords mets et vins, comme s’il anticipait les demandes du client. S’il s’agit d’un client fidèle, ses plats sont tous mémorisés, un programme fidélité est simple à mettre en place.

A l’extérieure du restaurant, le menu est tactile et permet de voir les photos des plats, lire les commentaires des clients, de connaitre les plats les plus commandés, les plus likés, de faire une réservation tout en choisissant sa table grâce à un plan de la salle, de voir une vidéo pour découvrir le chef.

Enfin, il est possible de régler l’addition avec son mobile, grâce à une puce RFID placée sur la table et qui permet de payer via les références bancaires enregistrées sur le mobile du client.
Un autre QRCode correspondant aux plats commandés est imprimé sur le ticket de caisse, afin d’obtenir les photos ultérieurement et de profiter de son repas tranquillement.

Enfin, le restaurant propose une application mobile relayant les photos des plats toujours dans le but de les diffuser sur les réseaux sociaux. Cela permet de prolonger ou de revivre la soirée, de partager sur les réseaux sociaux les photos siglées au nom du restaurant.
Stratégie gagnante pour le client et le Chef-cuisinier.

Cette digitalisation du restaurant apporterait une autre expérience de la restauration et donnerait la sensation au client d’être déjà venu (que le restaurant connaisse ses goûts) tout en découvrant les lieux.


Sources :
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